Une classe de la Bruyère en visite au Centre de formation pour jeunes adultes

Les jeunes du Centre de formation pour jeunes adultes (CFJA) ont eu le plaisir de faire découvrir leur quotidien à une classe de la Bruyère. Nicolas Studer, travailleur au CFJA, s’est transformé en journaliste pour l’occasion.

Nicolas Studer a pris le rôle de journaliste dans le cadre de la visite d’une classe de la Bruyère.

Bonjour, je m’appelle Nicolas, j’ai 20 ans et j’habite à Pont-de-la-Morge dans la commune de Sion. Je suis au CFJA depuis longtemps, en 2021. En octobre 2023, je serai en stage à l’atelier Viticole pour travailler à la vigne.

J’ai fait ce travail de reportage. J’ai fait l’article sur la visite de la Bruyère. J’ai fait les recherches pour les interviews et pour la présentation des ateliers.

Pour moi, la préparation de la visite s’est très bien passée. C’était super.

Je me sens très bien et faire des visites avec les gens me touche beaucoup.

Mon meilleur souvenir, c’était de parler de mon travail à tout le monde.

Visite de la Bruyère

Une classe de la Bruyère est venue visiter le CFJA au mois de mai 2023.

Le but était de découvrir le Centre de formation.

Les jeunes de la Bruyère veulent peut-être venir au CFJA pour trouver un travail plus tard quand ils seront adultes.

Au CFJA, nous faisons plein de stages. C’est peut-être intéressant pour eux.

Ils voulaient savoir comment nous travaillons au CFJA et quels exercices nous faisons.

Alors, nous avons fait une présentation.

Nous avons organisé tout comme il faut et chacun a présenté son travail dans les 3 axes du CFJA.

Il y a l’axe Remédiation, l’axe Professionnel et l’axe Socioculturel.

Les adolescents sont passés au CFJA dans tous les ateliers. Il y avait plusieurs postes où nous avons présentés les travaux.

Les jeunes du CFJA expliquent les différents exercices qu’ils effectuent dans les ateliers.

Par exemple, à l’atelier Socioculturel, chez Laurent Balet, il y a des maths, du français et des cours socioculturels comme l’affirmation de soi, la CDPH (Convention relative aux droits des personnes handicapées) et aussi comment prendre les transports et s’orienter dans la rue.

Par exemple, à l’atelier Soutien socioculturel chez Cécile Dubuis, il y a de la cuisine et de l’informatique, mais aussi les cours sur l’hygiène alimentaire et les risques sur Internet, ainsi que la gym.

Par exemple, à l’atelier Remédiation chez Frédérique Jordan, il y a la coordination et la remédiation cognitive et émotionnelle, et aussi la motricité fine, le Brain gym et des jeux de logique.

Par exemple, à l’atelier Soutien professionnel chez Solange Lozouet, il y a l’intendance et les exercices administratifs, comme le CV et des cours sur la sécurité ou le développement durable, et aussi pour aller faire le service lors de manifestations.

Par exemple, à l’atelier Professionnel chez Louis-Gabriel Perruchoud, il y a les exercices sur le bois, le métal, la précision, le traçage, le pliage, le mesurage et même de la peinture.

Les jeunes du CFJA présentent leur quotidien aux jeunes de la Bruyère et à leur éducatrice sociale.

Interviews

J’ai participé à la visite et j’ai fait des interviews à propos de la visite. J’ai interviewé Florie Bonvin, responsable du centre de formation :

Nicolas (jeune adulte journaliste) : « Bonjour Florie, j’aimerais savoir pourquoi tu as eu cette idée de visite pour la Bruyère ? »

Florie (responsable du centre) : « Ce n’était pas mon idée. C’est une demande de Madame Béatrice Charbonnet, éducatrice sociale à la Bruyère pour faire découvrir le CFJA à certains de leurs jeunes qui pourraient être intéressés à y venir une fois leur scolarité obligatoire terminée. »

Nicolas : « Comment t’es-tu sentie lors de la visite ? »

Florie : « J’ai été très contente de ce moment de partage. J’ai été impressionnée par la qualité des présentations des jeunes du CFJA et leur sérieux dans cet exercice. »

Nicolas : « Pour toi, quel est ton meilleur souvenir ? »

Florie : « Cette journée est un magnifique souvenir. J’ai aimé être présente pour écouter les jeunes du CFJA et découvrir leur talent oratoire. »

J’ai aussi interviewé des maitres socioprofessionnels (MSP) :

Nicolas : « Bonjour Louis-Gabriel (MSP du CFJA). J’aimerais savoir comment s’est passé pour toi la préparation de la visite ? »

Louis-Gabriel : « J’ai préparé la visite avec Solange. Nous avons préparé tous les travaux de l’axe professionnel. Les jeunes du CFJA ont présenté les exercices aux jeunes de la Bruyère. »

Nicolas : « Comment t’es-tu senti lors de la visite ? »

Louis-Gabriel : « Je me suis senti bien. J’ai accueilli les visiteurs, puis j’ai laissé les jeunes du CFJA faire les présentations que nous avions préparées. »

Nicolas : « Pour toi, quel est ton plus beau souvenir ? »

Louis-Gabriel : « Les regards intéressés des jeunes de la Bruyère et la photo de groupe. »

Nicolas : « Bonjour Laurent (MSP du CFJA). J’aimerais savoir comment s’est passé pour toi la préparation de la visite ? »

Laurent : « Nous avons organisé la salle, les jeunes ont bien présenté. C’est beaucoup de travail que de tout sortir de l’armoire et de préparer les exercices. »

Nicolas : « Comment t’es-tu senti lors de la visite ? »

Laurent : « J’étais à l’aise, c’était calme et un plaisir de présenter le travail. »

Nicolas : « Pour toi, quel est ton plus beau souvenir ? »

Laurent : « Lorsque les jeunes du CFJA présentent le travail qu’ils font, c’est un réel plaisir parce que ce sont eux les experts, les professionnels. »

Et j’ai aussi interviewé des jeunes adultes du CFJA :

Nicolas : « Bonjour Alban (jeune adulte). J’aimerais savoir comment s’est passé pour toi la préparation et la présentation de la visite ? »

Alban : « Alors, c’est beaucoup stress. »

Nicolas : « Pour toi, quel est ton plus beau souvenir ? »

Alban : « On a beaucoup rigolé. »

Nicolas : « Bonjour Josué (jeune adulte). J’aimerais savoir comment s’est passé pour toi la préparation et la présentation de la visite ? »

Josué : « Ça s’est bien passé. »

Nicolas : « Pour toi, quel est ton plus beau souvenir ? »

Josué : « Mon souvenir, c’est la présentation avec Alban et tout le monde. »

par Nicolas Studer, Fovahm

Pour des raisons de lisibilité, le masculin générique est utilisé dans cet article, qui inclut toutes les personnes.

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